Véronique Barrillot voit et peint, en même temps, sans recourir à aucun dessin préparatoire ni esquisse, deux états superposés, tels que les décrit la physique quantique.

La peinture de Véronique Barrillot n’existe que dans l’œil, la position et le mouvement du regardeur, son expérience et ses émotions, tant du point de vue de l’artiste et de son public que de celui que le

neurologue peut porter sur la relation entre Art et cerveau.

En remontant la chronologie de l’histoire de l’art, on trouve d’autres traditions qui mobilisent l’illusion et la manière pour l’art de « leurrer le cerveau » : illusion d’optique, anamorphose, Op’art, … mais le travail de Véronique Barrillot présente des caractéristiques et une originalité différentes.

Elle incarne l’art du visage au XXIème siècle, en ces temps où la question de l’IA dans l’art interroge. Elle nous invite à nous engager pour parvenir à déchiffrer l’œuvre et son énigme.